Seth Wenig/AP/SIPA
Une substance prohibée dans la réglementation de l’Agence mondiale antidopage
Depuis quelques mois, Simona Halep, championne de Roland-Garros en 2018 et de Wimbledon en 2019, était éloigné des courts. En effet, la Romaine a été contrôlée positive au Roxadustat. C’est une molécule de synthèse qui stimule la production d’érythropoiétine (EPO). Cette substance est interdite dans la réglementation de l’Agence mondiale antidopage (AMA), tant en compétition que hors compétition.
Une suspension provisoire
Le test a été effectué lors de l’US Open et le résultat, qui a été communiqué à la joueuse le 7 octobre, a été révélé vendredi par l’International Tennis Integrity Agency (ITIA). Simona Halep a donc été est provisoirement suspendue de toutes compétitions pour dopage.
"Je me battrai jusqu’au bout pour prouver que je n’ai jamais pris sciemment de substance interdite"
Après l’annonce de sa suspension, l’ex-N.1 mondiale a partagé "le plus grand choc de sa (ma) vie" sur les réseaux sociaux. "Aujourd’hui commence le match le plus difficile de ma vie : un combat pour la vérité", a écrit la Roumaine. Elle a, cependant, promis de se battre "jusqu’au bout pour prouver", selon ses dires, qu’elle n’a "jamais pris sciemment de substance interdite". Simona Halep risque jusqu’à 4 ans de suspension, mais elle dispose de 10 jours à compter de la notification de l’ITIA pour faire appel.
— Simona Halep (@Simona_Halep) October 21, 2022
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