
AMY KATZ-ZUMA - SIPA
Selon RMC SPORT, l’enceinte futuriste Sphere recevra le tirage au sort de la Coupe du monde, l’évènement se tiendra dans une salle spectaculaire de 17 500 places.
Une cérémonie haut en couleur
Située dans le Nevada, cette sphère géante, haute de 112 mètres et large de 157 mètres, se distingue par son impressionnant écran LED extérieur, visible à des kilomètres. Elle a été choisie pour sa dimension extraordinaire et son rayonnement touristique. Pour autant, la ville ne figure pas parmi les sites hôtes du tournoi.
Ce choix n’est pas inédit. En 1994, lors du dernier Mondial organisé sur le sol américain, Las Vegas avait déjà accueilli le tirage, alors au Convention Center. Cette fois, la FIFA mise sur un lieu emblématique pour marquer le début d’un tournoi qui s’annonce hors norme.
Une Coupe du monde élargie et inédite
La prochaine édition de cette grande fête du ballon rond se déroulera du 11 juin au 19 juillet 2026. Trois pays se départageront l’accueil des matchs : États-Unis, au Canada et au Mexique. Seize villes réparties dans ces nations ont été sélectionnées pour recevoir les matchs. Ce tournoi sera historique, pour la première fois, 48 sélections nationales participeront à la phase finale. Les équipes seront réparties en douze groupes de quatre. Les deux premières de chaque poule, accompagnés des huit meilleurs troisièmes, accéderont aux seizièmes de finale.
À ce jour, treize sélections ont validé leur qualification. Outre les trois pays organisateurs, l’Argentine, Brésil, Équateur, Australie, Iran, Japon, Jordanie, Corée du Sud, Ouzbékistan et la Nouvelle-Zélande, sont assurés d’être de la partie.
Des ajustements prévus face à la chaleur
Des ajustements sont envisagés pour la compétition. Pour anticiper les températures élevées attendues dans certaines villes américaines, la FIFA envisage d’instaurer deux pauses fraîcheur par mi-temps. Cette mesure avait déjà été testée lors de la Coupe du monde des clubs organisée en juin. Par ailleurs, un changement majeur pourrait intervenir sur les tirs au but : l’IFAB réfléchirait à interdire les reprises sur une tentative manquée, une évolution qui modifierait profondément le déroulement des séances de penalty.