
Illustration - TPH/SIPA
Le consentement : un acte libre, éclairé et volontaire
Le consentement implique un accord libre, éclairé et volontaire de la part des parties. Même dans le cadre d’un mariage, chacun peut refuser un rapport sexuel. Aucun partenaire ne doit se sentir obligé de le faire. La peur ou la pression ne doivent jamais influencer cette décision. En l’absence d’un consentement, un acte sexuel non désiré peut être assimilé à une agression sexuelle, voire un viol.
Le consentement : un droit fondamental, non une faiblesse
Le fait de donner son consentement ne diminue en rien la valeur d’une personne. Contrairement à certaines croyances, c’est un droit fondamental qui doit être respecté. Chaque individu mérite que ses choix soient pris en compte, indépendamment de son genre, de ses croyances ou de sa situation personnelle. Ce droit protège sa dignité et garantit que toutes les relations reposent sur le respect et un accord mutuel.
Le consentement : une notion parfois floue et ambiguë
En France, la loi ne définit pas précisément le consentement, ce qui rend cette notion parfois difficile à interpréter. Cette absence de cadre légal strict complique la reconnaissance des situations où le consentement n’a pas été donné, et rend la preuve de son absence plus complexe.
Sources : Doctissimo.fr - Helloclue.com - Unfpa.org